En tant que député de la circonscription et en tant que président sortant du groupe d’amitié parlementaire France-Maroc j’ai pris part à la visite d’Etat du président de la République au Maroc du 28 au 30 octobre.
Cette visite est l’aboutissement d’un travail diplomatique de longue haleine et de la maturation d’une nouvelle posture de la France vis-à-vis du Maroc.
L’ambassadeur Christophe Lecourtier et ses équipes ont réalisé un travail remarquable pour retisser les liens entre les deux pays, ce qui souligne d’ailleurs l’importance de renforcer une diplomatie de métier.
La communauté au Maroc a exprimé son soulagement de ses retrouvailles après une période de mésentente, et son envie de participer pleinement à nourrir une relation ambitieuse et novatrice entre nos deux pays. En tant que député de gauche, j’estime que notre camp politique est à sa place lorsqu’il soutient la transformation positive du Maroc dans un contexte de grands chantiers :
1ère visite d’Etat d’un président français depuis 2013 ;
ambition d’une relation modèle pour construire un nouveau partenariat ;
55 accords signés entre des institutions françaises et marocaines ;
48 000 élèves dans le réseau d’enseignement français au Maroc ;
45 000 étudiants marocains, 1ère communauté étudiante en France ;
54 000 Français inscrits sur les registres de nos 6 consulats au Maroc.





