Cette élection législative touche à sa fin. Dimanche 19 juin, nous avons rendez-vous avec le changement et votre voix compte. Je partage avec vous les leçons apprises d’une campagne de terrain commencée il y a 8 mois
– Avec les élus locaux et la société civile française dans la 9e circonscription des Français.e.s établis hors de France, nous avons réussi à construire l’union de la gauche et de l’écologie, bien avant que le projet de la NUPES n’aboutissent.
– Sans les élu.e.s, les conseiller.e.s consulaires et les militant.e.s, cette campagne n’aurait pas été possible. Leur travail bénévole, enthousiaste m’a porté.
– Quand on va à la rencontre des citoyennes et citoyens, on se rend compte de la profondeur des problèmes qu’ils rencontrent et qui les préoccupent quotidiennement.
– De Tunis à Abidjan en passant par Casablanca et Ouagadougou, les préoccupations des Français.e.s à l’étranger sont les mêmes : école, CFE, fiscalité, services publics.
– Grâce aux échanges avec nos compatriotes, nous avons pu élaborer les propositions que je porterai et défendrai à l’@AssembleeNat.
– Au fil des voyages, des rencontres, on tisse des liens humains forts avec les citoyens. C’est capital de respecter leur intelligence et de ne pas les inonder de discours creux.
– Si le taux d’abstention est élevé aujourd’hui, c’est parce que les citoyens ont perdu confiance en leurs élus au niveau national. Ils se sentent délaissés et abandonnés.
– Nos compatriotes veulent un député de terrain, qui soit proche d’eux et qui connaisse leurs problèmes. C’est la condition pour améliorer leur quotidien.
Merci à chacune et chacun d’entre vous, les Français.e.s que j’ai rencontrés dans 24 villes de la circonscription. Cette expérience humaine était exceptionnelle.
Uni.e.s, nous ferons le nécessaire pour redonner leur voix aux Français.e.s de l’étranger.
Jusqu’à la victoire
