Hier matin, j’ai été auditionné, aux côtés du député Frédéric Petit et du sénateur Ronan Le Gleut, par la commission des finances de l’Assemblée des Français de l’Étranger (AFE).
Les Conseillers des Français de l’étranger (CFDE) m’ont interrogé sur l’impact des coupes budgétaires sur les différents programmes de la mission Action extérieure de l’État, dont je suis le rapporteur spécial à la commission des finances de l’assemblée.
J’ai souligné à la commission que j’étais toujours dans l’attente d’une réponse du ministère de l’Économie et des Finances ainsi que du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères (MEAE) sur ce point, alors même que je les ai interrogés depuis bientôt un mois.
En tout état de cause j’ai rappelé que le MEAE, qui ne représente que 1,1% du budget de l’État, subit plus de 7 % des coupes budgétaires annoncées fin février, selon les éléments dont je dispose à ce stade.
Au sujet des bourses scolaires, j’ai rappelé le besoin de transparence sur les changements des modes de calculs de l’indice de parité de pouvoir d’achat (IPPA), ainsi que la nécessité de donner de la prévisibilité aux familles sur l’obtention de ces bourses.
D’autre part, j’ai rappelé la nécessité d’une loi de programmation de la diplomatie.