« Karim Ben Cheïkh a su mettre à profit sa connaissance de l’appareil diplomatique et a bataillé à l’Assemblée nationale pour évoquer la question de la dépendance, des petites retraites, des bourses scolaires, de la Caisse des Français de l’étranger (CFE) dont les cotisations ne cessent d’augmenter et de son désinvestissement dans les réseaux consulaires amputés de moitié de leur budget et de leurs effectifs à temps plein en l’espace de trente ans. « On caricature souvent les Français de l’étranger comme des exilés fiscaux, balaie M. Ben Cheikh. Mais je vois surtout des exilés sociaux. »