De passage à Paris pour le 1er mai, je rejoins le cortège des militants, syndicats, sympathisants pour la célébration de la journée internationale des travailleurs et des travailleuses. Il flotte dans l’air une envie d’union. Depuis des mois je parcours les pays du Maghreb et d’Afrique de l’Ouest et j’entends une volonté d’être ensemble, écologistes, insoumis, socialistes, syndicats et mouvements sociaux. Une volonté de répondre à gauche et d’infléchir le cours de la vie politique vers des thèmes sociaux, le pouvoir d’achat, la santé, les services publics et la transformation écologique indispensable.
Dans le cortège du 1er mai les drapeaux de la gauche flottent, et on commence à discerner les contours d’une nouvelle bannière, celle de la nouvelle union populaire écologique et sociale…
Tout reste à faire pour donner une nouvelle perspective et des raisons d’espérer à des millions de Françaises et de Français.