La coopération économique et culturelle entre la 
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est le meilleur levier dont nous disposons pour désamorcer les populistes de tous bords. Le dégagisme n’est pas une fatalité pour la France en Afrique de l’ouest et nos pays ont démontré leur capacité à avancer ensemble. Sur le terrain, les acteurs de notre coopération portent des projets concrets qui renforcent les solidarités entre nos deux sociéts civiles.
J’ai rencontré le Pr. Serigne Magueye Gueye qui m’a accueilli, en présence de M. Matthieu Fau-Nougaret, Attaché de coopération scientifique et universitaire, dans les locaux du campus franco-sénégalais dans le Plateau. En attente de la création d’un tout nouveau campus à M’bour, ce projet vise à faire émerger un nouveau type de coopération universitaire en offrant des opportunités de formation double-diplômantes. Fruit d’un partenariat entre les deux Etats sénégalais et français, le nouveau CFS se veut un outil innovant qu’il faut soutenir pour concrétiser une grande ambition.
J’ai eu le plaisir de m’entretenir avec M. François Bockel, Conseiller adjoint de coopération et d’action culturelle à l’ambassade de France au Sénégal, qui m’a exposé les grands axes d’intervention de la coopération française au : jeunesse et territoires, avec un accent mis sur la ccopération dans le domaine sportif, où nos deux pays (
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) peuvent s’enorgueillir de succès mérités !
La #programmation de l’Institut français de Dakar, si essentielle aux yeux de nos compatriotes comme des apprenants en langue française et francophones nombreux à Dakar doit être préservée par des financements budgétaires dédiés, qui gagneraient à ne pas dépendre des recettes propres. Au moment où des élans hostiles traversent de nombreux pays sahéliens, la #culture française doit plus que jamais être défendue comme un modèle #émancipateur et ouvert !
Sur le plan économique, la reste le premier partenaire économique du Sénégal: deuxième fournisseur de biens après la Chine, avec 17% du stock d’IDE et premier bailleur au titre de l’aide publique au développement, comme me l’a rappelé M. Thibault Le Ruyet, Adjoint au chef du service économique. De nombreux interlocuteurs ont cité en exemple le TER de Dakar, projet structurant de la mobilité dans la région de Dakar jusqu’à Diamniadio, appelé à se prolonger jusqu’à l’aéroport (phase II) puis Thiès (phase III). M. Mihoub Mezouaghi, Directeur de l’Agence française de développement, m’a livré de précieuses grilles de lecture du développement de l’économie sénegalaise et du portefeuille de projets bilatéraux, nortamment dans les domaines de l’agriculture, de l’entrepreneuriat et du numérique.
