Ce week-end, je me suis rendu au Festival du Livre de Paris qui, cette année, a fait son grand retour dans un Grand Palais récemment restauré, lieu emblématique où l’événement avait vu le jour en 1981.
Cette année, le festival mettait à l’honneur le Maroc, invité d’honneur. L’occasion de célébrer la richesse de sa littérature, la diversité des voix francophones et les liens profonds entre nos cultures.
Le pavillon marocain a ainsi vu se succéder pendant 3 jours des intellectuels et des écrivains marocains, parmi lesquels Asma Lamrabet, Leïla Slimani ou encore Tahar Ben Jelloun. J’y ai également retrouvé mon ami Mohamed Tozy, politologue, avec lequel nous avons longuement échangé.
Cette mise à l’honneur du Maroc rappelle combien la culture est un lien vivant, essentiel, entre la France et ses partenaires historiques. Elle constitue un ferment d’amitié, de compréhension mutuelle, et de rayonnement commun.
J’ai particulièrement apprécié mes retrouvailles amicales avec mes anciens condisciples de Sciences Po, tous férus de cette culture commune, Abdellah Tourabi, Omar Saghi, et Youssef Safouane.




